La Maison Antoine-Vitez et l’ESAD se mettent « au vert »

À l’origine de ce projet, il y a le désir de faire entendre des écritures d’aujourd’hui d’autres pays, déjà traduites mais n’ayant pas encore été éditées ou mises en scène. Offrir aux spectatrices et spectateurs le plaisir de la découverte, et aux traductrices et traducteurs la possibilité d’entendre le texte qu’elles ou ils ont traduit dans la solitude, en l’imaginant dans la bouche de comédiennes et comédiens.