Portrait d’une femme

Un fait divers qui avait frappé les esprits au début des années 50 : la jeune Pauline Dubuisson, jugée et condamnée pour le meurtre de son amant sans que quiconque – et surtout pas l’appareil judiciaire, ne parvienne à décider d’un mobile réellement satisfaisant. Michel Vinaver, comme il le fera tout au long de sa vie quand il s’intéresse à une « affaire », prélève et collecte dans la presse quotidienne ce qui s’y rapporte. Ici, les compte-rendus du procès dans le journal Le Monde. En 1953, année du procès de Pauline Dubuisson, Vinaver est au commencement de sa carrière d’auteur, il a publié deux romans : Lataume et L’Objecteur, chez Gallimard sous l’impulsion d’Albert Camus. Il n’est pas encore devenu un « écrivain de théâtre » (ce sont ses mots), il le deviendra avec Les Coréens en 1956. Mais ce n’est que 30 ans plus tard qu’il écrira Portrait d’une femme. En 1953, année du procès de Pauline Dubuisson, Vinaver est au commencement de sa carrière d’auteur, il a publié deux romans : Lataume et L’Objecteur, chez Gallimard sous l’impulsion d’Albert Camus. 

Mise en scène : Matthieu Marie Avec Alexandre Bécourt, Arthur Boucheny, Lou Dubernat, Inès Fakhet, Clémence Henry, Kessy Huebi-Martel, Matéo Nédellec, Julien Ottavi, Joana Rebelo, Emile Rigaud et MaLou Vezon